Mon bullet journal professionnel est relativement simple et la plupart de mes pages sont les pages hebdo ou mensuelles que je t’ai déjà expliquées dans les articles précédents. Mais il y a encore plein d’autres pages dans ce carnet… et je vais te les présenter!
D’abord, les indispensables, index et future log (où j’ai ajouté les jours fériés et fluoté les évènements que nous organisons, donc où j’ai de la préparation à faire).


J’ai ensuite une page regroupant mes principaux objectifs et priorités pour 2018, ainsi qu’un « braindump », un vidage de cerveau pour balancer en vrac toutes les idées, les choses à faire « un jour peut-être », tout ces petits trucs qu’il ne faut pas oublier mais sur lesquels je ne veux ou peux pas agir tout de suite.

Enfin, tout à la fin de mon bullet journal (pour la trouver facilement sans qu’elle soit « dans le passage »), j’ai une page qui résume mes routines quotidiennes, hebdomadaires et mensuelles de la méthode FlyLady (j’en parlerai au mois de mars!).

A titre de comparaison, voilà un petit aperçu de l’évolution de mes pages entre mon premier bullet journal (que j’ai utilisé entre juillet 2016 et janvier 2018) et ma présentation actuelle.


Pour finir, parlons un peu matos. J’ai commencé le bullet journal sur un cahier de brouillon le premier mois, un cahier à spirale à petits carreaux. Les pages et la couverture étaient un peu fines à mon goût et je suis donc passée à un carnet Foray à couverture rigide, toujours à petits carreaux (5mm). Je n’avais pas grand choix chez le fournisseur de mon employeur et ce carnet, bien que plutôt agréable, avait différents points qui me dérangeaient un peu: la marque en bas des pages qui occupe deux lignes de manière inutile, un entête sur les pages de droite qui, lui aussi, occupe de la place. Dernier inconvénient, et pas des moindre: il n’était plus disponible quand mon premier cahier arrivait à sa fin. Après 2 mois à l’attendre (et à stresser en voyant les pages restantes diminuer… Gaaaaah!), j’ai donc dû me résoudre à passer à un autre cahier. Je suis repartie sur un simple carnet Clairefontaine, à spirale et toujours petits carreaux, mais avec un papier et une couverture de bonne qualité. Il n’y a pas de numéros de pages pré-imprimés ni de marque-page, mais je peux les inscrire et en bricoler, ça fera donc bien l’affaire!
Voilà qui finit cette série sur le bujo professionnel! J’espère que tu y as trouvé des idées intéressantes, des astuces que tu pourras, toi aussi, appliquer dans ton propre bullet journal. Et j’adorerais que tu me dises si ces posts t’ont inspiré/e et comment!
Merci pour cette série d articles.
Je vais essayer de m en inspirer, reste à garder la motivation suffisamment importante pour ne pas abandonner après les premiers jours d enthousiasme !
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Je pense que le secret c’est de ne pas démarrer trop fort, ne pas vouloir décorer de fou, faire toutes les collections et les pages de suivi qu’on voit sur internet. Il faut partir avec les bases uniquement et ensuite « monter en puissance » en fonction des besoins réels. Le mien prend 5-10 minutes à créer chaque semaine (majoritairement pour réfléchir à mes objectifs, mes priorités de la semaine) pour le perso et maxi 5 minutes pour le pro.
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